témoignage Florence

Lors d’une séance avec Léonard Anthony, j’ai évoqué ma difficulté à assumer la partie triste de ma personnalité et à chanter des airs profonds, mélancoliques qui font appel aux médiums et aux graves (je suis chanteuse lyrique qui « vire » au jazz).
Il se trouve que lors du cours de chant suivant, au conservatoire, j’ai étonné mon professeur en sortant des graves et des médiums comme jamais. Quelque chose était sorti de moi. Je me suis sentie là, incroyablement présente, et vivante. Tout mon corps vibrait.
J’ai pu chanter « Cry me a river », le fameux morceau que je mettais jusqu’alors à distance, faute de m’autoriser à le chanter.

Florence
38 ans

témoignage andrea

De nature anxieuse, je fais des crises d’angoisses qui tournent toujours autour de la peur de la mort et de la maladie sans vraiment savoir pourquoi.
Les médecins ne trouvant aucune anomalie physique mais évoquant une anxiété existentielle, je me suis tournée vers plusieurs formes de thérapies.
Au cours d’une séance avec Léonard Anthony, j’ai pu digérer un deuil que je ne m’étais jamais autorisée à accepter. Cela a été éprouvant car j’ai du revisiter ce souvenir difficile, mais j’ai pu libérer les émotions que j’avais bloquées et revivre cette scène au lieu de l’éviter comme j’avais tendance à éviter toutes situations émotionnellement perturbantes.
Aujourd’hui je me sens beaucoup plus ancrée dans le présent et, tout en acceptant ma nature anxieuse, je peux me remettre dans mes projets de vie.

Andréa
30 ans

temoignage patricia

Retraitée depuis bientôt 3 ans après une carrière dans l’univers des voyages. Prendre soin de moi fût ma première préoccupation après toutes ces années passées en entreprise. J’avais pris du poids, je n’avais plus d’activité physique régulière. Piscine 2 fois par semaine, marche rythmaient, entre autre, mon nouvel emploi du temps. Toutefois, mon dos, mes articulations, mon corps restaient douloureux. Les mauvaises postures ne pouvaient disparaître du jour au lendemain.
Mon kinésithérapeute me suggéra l’hypnose me décrivant les bienfaits qu’il avait lui-même ressentis après une séance. Pourquoi pas ?
Le temps faisant son œuvre, quelques semaines plus tard, rendez-vous fut pris.
Outre mes douleurs physiques, ce fut l’occasion pour moi de faire le point sur les relations avec ma mère et son décès (4 ans plus tôt). J’étais en confiance, je me suis donc confiée sur cette cicatrice. Après ce dialogue rassurant, vint la séance d’hypnose qui finalisait notre rendez-vous.
Au fils des jours suivants, un bien-être physique et moral, un état d’apaisement, une détente, se faisaient ressentir. Mon dos devenait plus mobile. Le carcan qui le bloquait à ce jour, disparu.
Depuis, des mots forts, des mots clés résonnent dans ma tête : vivre, réaliser sa vie, reconnecter le mental et le physique, se nourrir et non consommer. Quelle expérience ! Je suis bien décidée à poursuivre cette route vers le « mieux-être ».

Patricia
63 ans

temoignage jeff

Fumeur depuis longtemps, j’avais eu l’occasion, il y a quelques années, de faire une tentative pour arrêter de fumer par l’auto-hypnose, en tombant par “hasard” sur un site internet. Malheureusement, j’ai fait une “rechute” un an plus tard en raison d’une situation personnelle difficile à gérer… Je me suis remis à fumer de plus belle… comme un pompier…

Ma visite chez Léonard Anthony est liée à des circonstances particulières de ma vie. Je m’étais mis à pratiquer la méditation depuis six mois pour être plus en conscience avec le moment présent. La respiration étant la matière première de celui-ci, j’avais fini par me sentir dissonant quant à ma consommation de tabac, sans pour autant réussir à me débarrasser de ce geste…

La séance orientée vers l’hypnose a agi comme un “détonateur”. J’ai réalisé que nous étions déjà dans un état d’hypnose : nos pensées, nos conditionnements ; une illusion… L’accompagnement proposé m’a aidé dans cette prise de conscience. Lors de la séance, cela a vraiment été puissant et pertinent…

J’ai littéralement changé ma manière de “lire l’information”. Mon corps “s’aligne” depuis sur cette nouvelle perception, en étant conscient, lui aussi, de ce retour aux sources qui le ramène au premier instant de vie… Le “premier geste” qu’un bébé réalise lorsqu’il arrive au monde… celui de RESPIRER…

Alors, un grand merci encore pour cet “accompagnement sans douleur”, douleur de mon corps que je remercie aussi, lui qui a accepté de souffrir en silence et amoureusement durant toutes ces années de dépendance au tabac… Merci enfin à moi-même pour avoir accepté de
“collaborer”, en ne perdant pas de vue que le plus important ce n’est pas d’arrêter de fumer, mais de RESPIRER pleinement la VIE !

Jeff
42 ans

Témoignage Simon

En écoutant par hasard François Roustang à la radio, j’ai saisi une chose que j’avais souvent pressentie : il y avait une perception de la vie plus juste et plus fondamentale que la recherche angoissée et sans fin des mystérieuses origines de mon mal-être.
Grâce à la démarche proposée par Léonard Anthony, j’ai découvert les possibilités de cette perception : me faire oublier en grande partie mon agoraphobie et mon égocentrisme maladif. Je croyais que j’étais le centre d’attention de tout le monde, que mes faits et gestes étaient constamment observés, et c’était effrayant.
Toute ma vie d’adulte j’ai évité toutes sorties et confrontations avec l’extérieur, sauf si elles étaient absolument indispensables.
Aujourd’hui je sors me promener plusieurs fois par jour pour prendre l’air ou faire mes courses au marché. Je peux ressentir le simple plaisir de ma présence au monde et m’autoriser de nouvelles activités comme celle d’aller à la piscine. Cette pratique banale, et tant d’autres choses, me semblaient auparavant totalement hors d’atteinte, comme un univers inaccessible, réservé aux autres.

Simon
49 ans

temoignage-marie

Grâce à l’approche que propose Léonard Anthony, je suis sortie d’une tristesse profonde, c’est comme s’il y avait un escalier à côté de moi et qu’il suffisait de le monter. Je me sentais enfermée et j’ai pu me débarrasser d’un fardeau. J’ai été éduquée de telle façon que je pensais que pour vivre il fallait que je paye une contribution. Chacun est différent.
Il n’y a pas de changement radical, je n’ai rien fait. J’accepte ce que je vis, et je me sens juste plus à l’aise avec moi-même.
J’ai pu prendre de l’ampleur sans m’excuser de vivre ma vie alors qu’avant je me l’interdisais.

Marie
44 ans