témoignage Julia

Je suis une des (trop) nombreuses personnes qui a croisé dans sa vie un agresseur sexuel. J’avais six ans. Cela a duré un an. L’enfance n’est pas faite que d’insouciance. Les années ont passé, et heureusement, il y a d’autres expériences, la vie est faite de multiples strates, rencontres, atmosphères. Tout cela se superpose et se mêle pour composer notre existence, telle une oeuvre malléable, en perpétuelle création.
Pourtant, il y avait un grand barrage qui bloquait le cours de la vie, enfoui dans les nappes phréatiques profondes. Je ne comprenais pas ce qui se passait, ce qui surgissait des profondeurs. L’impression parfois de vivre sur un terrain miné.
L’an dernier, à la faveur d’une période de ralentissement, ce « cauchemar » enfoui a resurgi : le foisonnement d’activités ayant cessé, ce qui était là, sous-jacent, a refait surface, m’est revenu comme une gifle en pire. Je me sentais littéralement « envahie » physiquement, comme si l’ennemi immiscé en moi avait pris possession de mon corps et surgissait au gré de ses envies, sans que je puisse ni agir ni choisir.
Envahie de partout. J’étais la proie assujettie à ses apparitions brutales et imprévisibles qui me laissaient tétanisée, angoissée, engluée, isolée, piégée, perdue.
L’impression d’être enfermée sans porte pour échapper, à la merci de l’ennemi. Supporter seule un tel poids est trop lourd.
Quelle aide pouvait m’être vraiment utile ?
Je n’avais pas envie de raconter ma vie pendant des décennies sur le divan d’un psy, raconter mon « problème;» sans libérer la souffrance enfermée dans mon corps. Je sentais qu’une forme de thérapie qui engage tout le corps serait plus adaptée à mon «cas». Une amie médecin m’avait par ailleurs dit que l’hypnose était recommandée pour les « troubles post traumatiques» (c’est comme ça que ça s’appelle en langage plus médical).
C’est alors que j’ai contacté Léonard Anthony. Nous nous sommes vus deux fois, à quinze jours d’intervalle.
Difficile de raconter ce qui s’est passé, mais ce qui importe, c’est que mon état a changé.
À l’issue de la première séance, j’ai dormi des heures, comme si je revenais d’un voyage dans le temps, un flashback dans cet épisode de mon enfance. Une porte demeurée longtemps fermée s’ouvrait enfin sur un espace vaste, empli d’air frais. J’ai senti physiquement que la nature était mon alliée, ma force ma joie, ma véritable demeure. Immédiatement, la sensation d’envahissement a disparu.
Dans les deux semaines qui ont suivi, j’ai senti quelque chose de plus précis cette fois-ci : une sensation plus localisée, comme si l’ennemi » attaquait toute la partie gauche de mon corps. J’ai fait une deuxième séance d’hypnose avec Léonard Anthony. À l’issue de cette séance, la sensation d’être « attaquée » s’est largement dissipée. Le corps s’est détendu, apaisé, comme si je pouvais faire enfin confiance dans la vie d’aujourd’hui.

Je ne sais pas quoi dire de plus, si ce n’est que je ressens un profond soulagement, un allègement. 

Julia
49 ans

Témoignage philippe

Je passe mon temps dans les avions pour décrocher des marchés en Asie et aux USA. Je n’ai pas vraiment le temps de m’occuper de moi mais entre deux vols j’essaie de faire une séance que j’appelle « cocktail » : décontraction active et méditation. Ça me remet d’aplomb physiquement et surtout intellectuellement car même pendant les trajets je dois souvent travailler. Je sais qu’il faut que je me calme mais, en tout cas, ça me permet de tenir le coup.

Philippe
54 ans

temoignage-bruno

Je pratique depuis plusieurs années la méditation à laquelle m’initie Léonard Anthony, dans une forme particulière où il mêle Yoga Nidra et hypnose.
J’ai retenu que la méditation est un chemin de découvertes et d’immersion en soi. Elle nous rend sensible aux sens de l’Univers qui nous relient tous. Elle nous amène à sortir du cadre, en particulier pour dépasser, ou mieux résoudre parfois, des « misères » physiques que la médecine classique n’arrive pas toujours à guérir.
Le psoriasis fait partie de ces « misères » réputées insubmersibles, et pourtant…
Au printemps dernier Léonard Anthony m’a proposé une approche décalée, dans l’esprit de la pensée de François Roustang. Il m’a proposé de m’imprégner de trois idées majeures.
La première : considérer et sentir que mon psoriasis ne couvrait en fait qu’un pourcentage minoritaire de ma peau dont l’essentiel est « normal » (relativiser).
La seconde : me dire que l’océan de peau normale va noyer, diluer la partie minoritaire frappée de psoriasis, l’expérience à laquelle il m’invita fut menée dans une forme d’hypnose qui lui appartient (intégrer).
La troisième : accepter de ne plus lutter contre le psoriasis. L’usage à répétition que je fis de médicaments pendant des années a montré que non seulement le mal ne s’éteignait pas, mais qu’au surplus il revenait triomphant, encore plus fort. Ce problème complexe de santé s’est développé à proportion de l’importance que je lui donnais. En manifestant le fait de ne plus m’intéresser à son sort, je l’ai laissé se perdre progressivement au fond de l’océan de peau saine (se désintéresser).
Quel résultat ?
Au bout de deux mois environ j’ai observé pour la première fois en près de 25 ans une stabilisation, puis une décrue progressive des plaques. Notamment l’une d’elles, qui occupait de façon particulièrement agressive la face latérale de mon mollet gauche, a disparu, submergée par la peau lisse. Idem du côté droit. Les autres zones ont perdu plus de 50% de leurs squames envahisseuses, en particulier au niveau des coudes.
Ce mouvement de régénérescence cutanée se poursuit aujourd’hui. Je lui laisse le temps d’installer l’oubli salvateur.
Ainsi, de mois en mois, j’éteins peu à peu les foyers d’expression externe de colère ou de contrariétés qui alimentaient un problème au départ physiquement très ponctuel. « En laissant tomber l’affaire… » je mets, sur un mode paradoxal, un terme à la propagation de ces rougeurs irritantes qui prospéraient par l’intérêt excessif que je leur portais.
Ce vécu est un signe d’espérance en la possibilité d’une guérison. Parfois, il suffit d’un signe…

Bruno
59 ans

témoignage clarisse

L’approche proposée par Léonard Anthony me permet de vivre un quotidien plus apaisé, de profiter de ce qui est. Ne pas fuir les peurs, les angoisses mais les accepter pour ce qu’elles sont.
Je me sens aujourd’hui davantage « équipée » pour accueillir les mauvais moments, les difficultés, car j’ai pris conscience de ma capacité à prendre soin de moi, à me réparer.

Clarisse
42 ans

témoignage Ingrid

Comment faire partir ce poids qui depuis tant d’années me pesait ? Ce poids qui me donnait l’impression d’être enfermée dans un tube de verre que je ne réussissais pas à faire éclater ?
Après plusieurs années de thérapie pour m’en libérer, j’ai eu la chance d’entendre parler de Léonard Anthony. La première chose qui m’a frappée a été sa capacité d’analyse et de compréhension de ma personne alors que nous avions à peine échangé… De plus, nous ne mettions pas les mêmes mots sur mon ressenti et c’est lui qui avait raison… premier bouleversement pour moi.
Comme je résiste beaucoup, je n’ai pas réussi à me livrer totalement et il m’a fallu plusieurs séances pour accepter d’aller au bout des choses afin de rendre ce travail efficace et aboutir enfin au mieux être tant désiré !
Grâce au travail de verbalisation, de mise à distance et de visualisation, même si ce dernier peut être éprouvant, j’ai enfin réussi à me libérer de ce poids. J’ai l’impression d’être à nouveau moi et j’ai à nouveau le sourire.

Ingrid
38 ans

témoignage isabelle

J’ai pris contact avec Léonard Anthony suite à des attaques de panique. J’étais alors dans la peur de nouvelles crises et dans l’incompréhension de cette anxiété envahissante.
J’ai pu mettre des mots sur mes sensations, ce qui m’a rassurée. Puis un travail basé sur l’écoute, la relaxation m’a apporté des solutions. Si des sensations liées à l’anxiété peuvent débuter, je peux les détecter et les laisser passer, notamment grâce au travail sur la respiration.

Isabelle
40 ans