TÉMOIGNAGES PROFESSIONNELS
« J’ai eu l’occasion de travailler avec Monsieur Léonard Anthony. Compte tenu de la pertinence de ses analyses de l’état psychologique de certains patients, je lui ai adressé, pour des séances d’hypnose écologique, plusieurs personnes qui avaient des troubles fonctionnels intestinaux. Lorsque les indications sont bien portées, son aide a été précieuse et a permis de limiter les prises médicamenteuses tout en améliorant les symptômes digestifs. »
« Certains patients présentent des blocages émotionnels qui, s’ils sont perceptibles, ne sont pas évidents à objectiver et à comprendre. Je fais appel à Léonard Anthony dans ces cas-là, car sa pratique de l’hypnose et son réel don intuitif peuvent les aider à en prendre conscience. Léonard Anthony s’inscrit ainsi bien dans la lignée de François Roustang, dont il a été l’élève. »
« Une séance d’hypnose écologique avec Léonard Anthony combine l’émotion intime d’une plongée intérieure avec les sensations fortes d’un voyage au cœur de nos perceptions. C’est avec plaisir et confiance que je collabore avec lui. »
« Nous sommes intervenus avec Léonard Anthony autour d’une table ronde consacrée à François Roustang (qui était un ami commun) à la Pitié-Salpêtrière et dans un congrès d’hypnose à Nantes, consacré aux approches thérapeutiques du trauma. Il fait partie des quelques personnes que je recommande pour de l’hypnothérapie à Paris, exerçant moi-même surtout à Genève et à Lausanne. »
« J’ai pu constater à plusieurs reprises, dans le cadre d’une collaboration pour soigner mes patients, à quel point la pratique de Léonard Anthony place toujours le patient au cœur de ses possibilités dans un respect et une prise en compte totale de sa liberté. Et c’est d’ailleurs un des axes de sa pratique, aider le patient à retrouver une liberté : une liberté d’agir, de penser, de ressentir quand celle-ci s’est perdue dans les contraintes et les exigences de la vie. »
« J’ai rencontré Léonard Anthony il y a plusieurs années dans un cadre professionnel international et j’ai pu observer de visu sa capacité à mobiliser et à fédérer des collaborateurs et des acteurs professionnels de tous horizons. Ses ouvrages de réflexion sont à la fois une synthèse de son approche inclusive et respectueuse de chacun, mais également une nourriture intellectuelle pour réfléchir individuellement à son rapport au travail et à l’efficacité. »
« Les suggestions proposées par Léonard Anthony touchent à une dimension intime de l’être. Permettre à l’autre de retrouver toutes ses perceptions, d’entrer en relation, de se remettre en mouvement n’est rien d’autre que ce que propose l’hypnose qu’il connait bien. »
« J’ai fait intervenir Léonard Anthony dans plusieurs conférences et tables rondes sur des sujets santé et bien-être. Le public et les influenceurs invités ainsi que les médecins présents ont, à chaque fois, été captivés par ses propos et sa présence. Son approche de l’humain, que l’on retrouve dans l’ensemble de ses ouvrages, apporte toujours une dimension enrichissante et pertinente. »
«Mon cher Léonard,
Je tenais à vous remercier pour votre intervention sur l’hypnose dans notre établissement. Votre présentation a été passionnante, donnant le goût de cette discipline aux novices. L’auditoire, composé d’une trentaine de personnes (internes, médecins anesthésistes, chirurgiens, infirmiers, aides-soignants), a été littéralement captivé.
Les rappels historiques, les éléments techniques, vos succès sur les patients nous ont confortés dans notre volonté de développer l’hypnose à l’hôpital Franco-Britannique. Nous avons décidé qu’elle ferait partie de notre projet de service pour les cinq années à venir.
Nous n’hésiterons pas à faire appel à vous pour de nouvelles conférences et à solliciter vos conseils pour le plan de formation du personnel. Notre établissement appartient, comme je vous l’avais dit, à la Fondation Cognacq-Jay très impliquée dans l’amélioration du bien-être des patients en secteur hospitalier.
À très bientôt pour une nouvelle conférence et merci encore,
Très cordialement»
TÉMOIGNAGES PERSONNELS
témoignage Julia
Je suis une des (trop) nombreuses personnes qui a croisé dans sa vie un agresseur sexuel. J’avais six ans. Cela a duré un an. L’enfance n’est pas faite que d’insouciance. Les années ont passé, et heureusement, il y a d’autres expériences, la vie est faite de multiples strates, rencontres, atmosphères. Tout cela se superpose et se mêle pour composer notre existence, telle une oeuvre malléable, en perpétuelle création.
Pourtant, il y avait un grand barrage qui bloquait le cours de la vie, enfoui dans les nappes phréatiques profondes. Je ne comprenais pas ce qui se passait, ce qui surgissait des profondeurs. L’impression parfois de vivre sur un terrain miné.
L’an dernier, à la faveur d’une période de ralentissement, ce “cauchemar” enfoui a resurgi : le foisonnement d’activités ayant cessé, ce qui était là, sous-jacent, a refait surface, m’est revenu comme une gifle en pire. Je me sentais littéralement “envahie” physiquement, comme si l’ennemi immiscé en moi avait pris possession de mon corps et surgissait au gré de ses envies, sans que je puisse ni agir ni choisir.
Envahie de partout. J’étais la proie assujettie à ses apparitions brutales et imprévisibles qui me laissaient tétanisée, angoissée, engluée, isolée, piégée, perdue.
L’impression d’être enfermée sans porte pour échapper, à la merci de l’ennemi. Supporter seule un tel poids est trop lourd.
Quelle aide pouvait m’être vraiment utile ?
Je n’avais pas envie de raconter ma vie pendant des décennies sur le divan d’un psy, raconter mon “problème;» sans libérer la souffrance enfermée dans mon corps. Je sentais qu’une forme de thérapie qui engage tout le corps serait plus adaptée à mon «cas». Une amie médecin m’avait par ailleurs dit que l’hypnose était recommandée pour les “troubles post traumatiques» (c’est comme ça que ça s’appelle en langage plus médical).
C’est alors que j’ai contacté Léonard Anthony. Nous nous sommes vus deux fois, à quinze jours d’intervalle.
Difficile de raconter ce qui s’est passé, mais ce qui importe, c’est que mon état a changé.
À l’issue de la première séance, j’ai dormi des heures, comme si je revenais d’un voyage dans le temps, un flashback dans cet épisode de mon enfance. Une porte demeurée longtemps fermée s’ouvrait enfin sur un espace vaste, empli d’air frais. J’ai senti physiquement que la nature était mon alliée, ma force ma joie, ma véritable demeure. Immédiatement, la sensation d’envahissement a disparu.
Dans les deux semaines qui ont suivi, j’ai senti quelque chose de plus précis cette fois-ci : une sensation plus localisée, comme si l’ennemi” attaquait toute la partie gauche de mon corps. J’ai fait une deuxième séance d’hypnose avec Léonard Anthony. À l’issue de cette séance, la sensation d’être “attaquée” s’est largement dissipée. Le corps s’est détendu, apaisé, comme si je pouvais faire enfin confiance dans la vie d’aujourd’hui.
Je ne sais pas quoi dire de plus, si ce n’est que je ressens un profond soulagement, un allègement.
Julia
49 ans
Témoignage philippe
Je passe mon temps dans les avions pour décrocher des marchés en Asie et aux USA. Je n’ai pas vraiment le temps de m’occuper de moi mais entre deux vols j’essaie de faire une séance que j’appelle « cocktail » : décontraction active et méditation. Ça me remet d’aplomb physiquement et surtout intellectuellement car même pendant les trajets je dois souvent travailler. Je sais qu’il faut que je me calme mais, en tout cas, ça me permet de tenir le coup.
Philippe
54 ans
temoignage-bruno
Je pratique depuis plusieurs années la méditation à laquelle m’initie Léonard Anthony, dans une forme particulière où il mêle Yoga Nidra et hypnose.
J’ai retenu que la méditation est un chemin de découvertes et d’immersion en soi. Elle nous rend sensible aux sens de l’Univers qui nous relient tous. Elle nous amène à sortir du cadre, en particulier pour dépasser, ou mieux résoudre parfois, des « misères » physiques que la médecine classique n’arrive pas toujours à guérir.
Le psoriasis fait partie de ces « misères » réputées insubmersibles, et pourtant…
Au printemps dernier Léonard Anthony m’a proposé une approche décalée, dans l’esprit de la pensée de François Roustang. Il m’a proposé de m’imprégner de trois idées majeures.
La première : considérer et sentir que mon psoriasis ne couvrait en fait qu’un pourcentage minoritaire de ma peau dont l’essentiel est « normal » (relativiser).
La seconde : me dire que l’océan de peau normale va noyer, diluer la partie minoritaire frappée de psoriasis, l’expérience à laquelle il m’invita fut menée dans une forme d’hypnose qui lui appartient (intégrer).
La troisième : accepter de ne plus lutter contre le psoriasis. L’usage à répétition que je fis de médicaments pendant des années a montré que non seulement le mal ne s’éteignait pas, mais qu’au surplus il revenait triomphant, encore plus fort. Ce problème complexe de santé s’est développé à proportion de l’importance que je lui donnais. En manifestant le fait de ne plus m’intéresser à son sort, je l’ai laissé se perdre progressivement au fond de l’océan de peau saine (se désintéresser).
Quel résultat ?
Au bout de deux mois environ j’ai observé pour la première fois en près de 25 ans une stabilisation, puis une décrue progressive des plaques. Notamment l’une d’elles, qui occupait de façon particulièrement agressive la face latérale de mon mollet gauche, a disparu, submergée par la peau lisse. Idem du côté droit. Les autres zones ont perdu plus de 50% de leurs squames envahisseuses, en particulier au niveau des coudes.
Ce mouvement de régénérescence cutanée se poursuit aujourd’hui. Je lui laisse le temps d’installer l’oubli salvateur.
Ainsi, de mois en mois, j’éteins peu à peu les foyers d’expression externe de colère ou de contrariétés qui alimentaient un problème au départ physiquement très ponctuel. « En laissant tomber l’affaire… » je mets, sur un mode paradoxal, un terme à la propagation de ces rougeurs irritantes qui prospéraient par l’intérêt excessif que je leur portais.
Ce vécu est un signe d’espérance en la possibilité d’une guérison. Parfois, il suffit d’un signe…
Bruno
59 ans
témoignage clarisse
L’approche proposée par Léonard Anthony me permet de vivre un quotidien plus apaisé, de profiter de ce qui est. Ne pas fuir les peurs, les angoisses mais les accepter pour ce qu’elles sont.
Je me sens aujourd’hui davantage « équipée » pour accueillir les mauvais moments, les difficultés, car j’ai pris conscience de ma capacité à prendre soin de moi, à me réparer.
Clarisse
42 ans
témoignage Ingrid
Comment faire partir ce poids qui depuis tant d’années me pesait ? Ce poids qui me donnait l’impression d’être enfermée dans un tube de verre que je ne réussissais pas à faire éclater ?
Après plusieurs années de thérapie pour m’en libérer, j’ai eu la chance d’entendre parler de Léonard Anthony. La première chose qui m’a frappée a été sa capacité d’analyse et de compréhension de ma personne alors que nous avions à peine échangé… De plus, nous ne mettions pas les mêmes mots sur mon ressenti et c’est lui qui avait raison… premier bouleversement pour moi.
Comme je résiste beaucoup, je n’ai pas réussi à me livrer totalement et il m’a fallu plusieurs séances pour accepter d’aller au bout des choses afin de rendre ce travail efficace et aboutir enfin au mieux être tant désiré !
Grâce au travail de verbalisation, de mise à distance et de visualisation, même si ce dernier peut être éprouvant, j’ai enfin réussi à me libérer de ce poids. J’ai l’impression d’être à nouveau moi et j’ai à nouveau le sourire.
Ingrid
38 ans
témoignage isabelle
J’ai pris contact avec Léonard Anthony suite à des attaques de panique. J’étais alors dans la peur de nouvelles crises et dans l’incompréhension de cette anxiété envahissante.
J’ai pu mettre des mots sur mes sensations, ce qui m’a rassurée. Puis un travail basé sur l’écoute, la relaxation m’a apporté des solutions. Si des sensations liées à l’anxiété peuvent débuter, je peux les détecter et les laisser passer, notamment grâce au travail sur la respiration.
Isabelle
40 ans
témoignage Florence
Lors d’une séance avec Léonard Anthony, j’ai évoqué ma difficulté à assumer la partie triste de ma personnalité et à chanter des airs profonds, mélancoliques qui font appel aux médiums et aux graves (je suis chanteuse lyrique qui « vire » au jazz).
Il se trouve que lors du cours de chant suivant, au conservatoire, j’ai étonné mon professeur en sortant des graves et des médiums comme jamais. Quelque chose était sorti de moi. Je me suis sentie là, incroyablement présente, et vivante. Tout mon corps vibrait.
J’ai pu chanter « Cry me a river », le fameux morceau que je mettais jusqu’alors à distance, faute de m’autoriser à le chanter.
Florence
38 ans
témoignage andrea
De nature anxieuse, je fais des crises d’angoisses qui tournent toujours autour de la peur de la mort et de la maladie sans vraiment savoir pourquoi.
Les médecins ne trouvant aucune anomalie physique mais évoquant une anxiété existentielle, je me suis tournée vers plusieurs formes de thérapies.
Au cours d’une séance avec Léonard Anthony, j’ai pu digérer un deuil que je ne m’étais jamais autorisée à accepter. Cela a été éprouvant car j’ai du revisiter ce souvenir difficile, mais j’ai pu libérer les émotions que j’avais bloquées et revivre cette scène au lieu de l’éviter comme j’avais tendance à éviter toutes situations émotionnellement perturbantes.
Aujourd’hui je me sens beaucoup plus ancrée dans le présent et, tout en acceptant ma nature anxieuse, je peux me remettre dans mes projets de vie.
Andréa
30 ans
temoignage patricia
Retraitée depuis bientôt 3 ans après une carrière dans l’univers des voyages. Prendre soin de moi fût ma première préoccupation après toutes ces années passées en entreprise. J’avais pris du poids, je n’avais plus d’activité physique régulière. Piscine 2 fois par semaine, marche rythmaient, entre autre, mon nouvel emploi du temps. Toutefois, mon dos, mes articulations, mon corps restaient douloureux. Les mauvaises postures ne pouvaient disparaître du jour au lendemain.
Mon kinésithérapeute me suggéra l’hypnose me décrivant les bienfaits qu’il avait lui-même ressentis après une séance. Pourquoi pas ?
Le temps faisant son œuvre, quelques semaines plus tard, rendez-vous fut pris.
Outre mes douleurs physiques, ce fut l’occasion pour moi de faire le point sur les relations avec ma mère et son décès (4 ans plus tôt). J’étais en confiance, je me suis donc confiée sur cette cicatrice. Après ce dialogue rassurant, vint la séance d’hypnose qui finalisait notre rendez-vous.
Au fils des jours suivants, un bien-être physique et moral, un état d’apaisement, une détente, se faisaient ressentir. Mon dos devenait plus mobile. Le carcan qui le bloquait à ce jour, disparu.
Depuis, des mots forts, des mots clés résonnent dans ma tête : vivre, réaliser sa vie, reconnecter le mental et le physique, se nourrir et non consommer. Quelle expérience ! Je suis bien décidée à poursuivre cette route vers le « mieux-être ».
Patricia
63 ans
temoignage jeff
Fumeur depuis longtemps, j’avais eu l’occasion, il y a quelques années, de faire une tentative pour arrêter de fumer par l’auto-hypnose, en tombant par “hasard” sur un site internet. Malheureusement, j’ai fait une “rechute” un an plus tard en raison d’une situation personnelle difficile à gérer… Je me suis remis à fumer de plus belle… comme un pompier…
Ma visite chez Léonard Anthony est liée à des circonstances particulières de ma vie. Je m’étais mis à pratiquer la méditation depuis six mois pour être plus en conscience avec le moment présent. La respiration étant la matière première de celui-ci, j’avais fini par me sentir dissonant quant à ma consommation de tabac, sans pour autant réussir à me débarrasser de ce geste…
La séance orientée vers l’hypnose a agi comme un “détonateur”. J’ai réalisé que nous étions déjà dans un état d’hypnose : nos pensées, nos conditionnements ; une illusion… L’accompagnement proposé m’a aidé dans cette prise de conscience. Lors de la séance, cela a vraiment été puissant et pertinent…
J’ai littéralement changé ma manière de “lire l’information”. Mon corps “s’aligne” depuis sur cette nouvelle perception, en étant conscient, lui aussi, de ce retour aux sources qui le ramène au premier instant de vie… Le “premier geste” qu’un bébé réalise lorsqu’il arrive au monde… celui de RESPIRER…
Alors, un grand merci encore pour cet “accompagnement sans douleur”, douleur de mon corps que je remercie aussi, lui qui a accepté de souffrir en silence et amoureusement durant toutes ces années de dépendance au tabac… Merci enfin à moi-même pour avoir accepté de
“collaborer”, en ne perdant pas de vue que le plus important ce n’est pas d’arrêter de fumer, mais de RESPIRER pleinement la VIE !
Jeff
42 ans
Témoignage Simon
En écoutant par hasard François Roustang à la radio, j’ai saisi une chose que j’avais souvent pressentie : il y avait une perception de la vie plus juste et plus fondamentale que la recherche angoissée et sans fin des mystérieuses origines de mon mal-être.
Grâce à la démarche proposée par Léonard Anthony, j’ai découvert les possibilités de cette perception : me faire oublier en grande partie mon agoraphobie et mon égocentrisme maladif. Je croyais que j’étais le centre d’attention de tout le monde, que mes faits et gestes étaient constamment observés, et c’était effrayant.
Toute ma vie d’adulte j’ai évité toutes sorties et confrontations avec l’extérieur, sauf si elles étaient absolument indispensables.
Aujourd’hui je sors me promener plusieurs fois par jour pour prendre l’air ou faire mes courses au marché. Je peux ressentir le simple plaisir de ma présence au monde et m’autoriser de nouvelles activités comme celle d’aller à la piscine. Cette pratique banale, et tant d’autres choses, me semblaient auparavant totalement hors d’atteinte, comme un univers inaccessible, réservé aux autres.
Simon
49 ans
temoignage-marie
Grâce à l’approche que propose Léonard Anthony, je suis sortie d’une tristesse profonde, c’est comme s’il y avait un escalier à côté de moi et qu’il suffisait de le monter. Je me sentais enfermée et j’ai pu me débarrasser d’un fardeau. J’ai été éduquée de telle façon que je pensais que pour vivre il fallait que je paye une contribution. Chacun est différent.
Il n’y a pas de changement radical, je n’ai rien fait. J’accepte ce que je vis, et je me sens juste plus à l’aise avec moi-même.
J’ai pu prendre de l’ampleur sans m’excuser de vivre ma vie alors qu’avant je me l’interdisais.
Marie
44 ans
temoignage-micheline
Des douleurs dorsales intenses, liées, me semblait-il à mon estomac, revenaient périodiquement depuis de longues années sans résultats! Le médecin et l’ ostéopathe consulté, après une séance très efficace, a de suite compris que derrière ces symptômes physiques se cachait un mal-être perpétuel. Il m’a donc adressé à Mr Anthony….Une séance d’hypnose…Dès ma sortie : une impression de soulagement, un ressenti d’apaisement….Le passé, sur lequel nous nous étions attardé, me semblait “digéré”. Dès le lendemain je pouvais regarder derrière moi sans souffrance et surtout sans culpabilité. Je comprenais la différence entre les actes et le ressenti….comme si d’un coup je “m’acceptais”!!!!
Micheline
65 ans
témoignage Éveline
Je tenais à relater mon expérience afin que cela puisse aider d’autres personnes rencontrant le même genre de souffrance : je devais commencer une radiothérapie de 33 séances pour un cancer de la thyroïde.
Pour cela un moulage de mon visage, mon cou et le haut de ma poitrine à été fait afin de réaliser un masque thermoformé fait pour cibler les zones à irradier.
Au moment du repérage des zones sous scanner le masque a été clippé sur la table d’examen de façon à ce que je ne puisse pas bouger : j’ai assimilé cela à une vraie scène de torture et j’ai déclenché une réelle attaque de panique ….
J’ai tremblé et perdu le sommeil pendant de nombreux jours, j’ai alors pris la décision de ne pas me soigner. Ma fille m’a proposé d’essayer l’hypnose, pour lui faire plaisir j’ai accepté, mais je n’y croyais pas du tout.
J’ai eu les coordonnées de Léonard Anthony, recommandé par Monsieur ROUSTANG, lui-même. Après quelques séances, ma phobie a disparu, j’ai donc accepté le traitement et supporté de porter ce masque à chaque séance.
Éveline
62 ans
Témoignage Patricia
Retraitée depuis bientôt 3 ans après une carrière dans l’univers des voyages. Prendre soin de moi fût ma première préoccupation après toutes ces années passées en entreprise. J’avais pris du poids, je n’avais plus d’activité physique régulière. Piscine 2 fois par semaine, marche rythmaient, entre autre, mon nouvel emploi du temps. Toutefois, mon dos, mes articulations, mon corps restaient douloureux. Les mauvaises postures ne pouvaient disparaître du jour au lendemain.
Mon kinésithérapeute me suggéra l’hypnose me décrivant les bienfaits qu’il avait lui-même ressentis après une séance. Pourquoi pas ?
Le temps faisant son œuvre, quelques semaines plus tard, rendez-vous fut pris avec Léonard Anthony.
Outre mes douleurs physiques, ce fut l’occasion pour moi de faire le point sur les relations avec ma mère et son décès (4 ans plus tôt). J’étais en confiance, je me suis donc confiée sur cette cicatrice. Après ce dialogue rassurant, vint la séance d’hypnose qui finalisait notre rendez-vous.
Au fils des jours suivants, un bien-être physique et moral, un état d’apaisement, une détente, se faisaient ressentir. Mon dos devenait plus mobile. Le carcan qui le bloquait a, à ce jour, disparu.
Depuis, des mots forts, des mots clés résonnent dans ma tête : vivre, réaliser sa vie, reconnecter le mental et le physique, se nourrir et non consommer.
Quelle expérience ! Je suis bien décidée à poursuivre cette route vers le « mieux-être ».
Patricia
63 ans